Quel est l’intérêt pour un cabinet comptable de prescrire un diagnostic OPTI-DIAG ?

C’est avant tout un activateur de business.

Les clients des cabinets ont besoin de plus en plus d’experts-comptables de type « couteau Suisse », c’est-à-dire capables de traiter de tous les sujets d’une entreprise d’une part et d’autre part, de sortir du seul rôle d’expert qui maitrise tout.

C’est un peu comme si la relation entre l’expert-comptable et son client était basée jusqu’à présent sur : « laisse moi faire, je le prends en charge, c’est trop compliqué et c’est mon job… » C’est bien entendu caricatural que de présenter la relation comme une relation entre un « sachant et un sachant pas… » Dans de nombreuses situations, l’expert comptable est un partenaire qui réfléchit avec son client à la meilleure stratégie pour faire les choses, au meilleur scénario avant de prendre telle ou telle décision, par exemple.

Cependant le chiffres montrent que les missions de conseil sont mal valorisées par les comptables et pas ou peu facturées.

Une étude de 2019 de l’OCDE le montre ci après.

Optidiag, Une étude de 2019 de l’OCDE montre l'intérêt du conseil pour les experts comptables

Selon cette étude de 2019, 14% des emplois existants vont être automatisés dans les années à venir (C’est déjà le cas) et 32% des emplois vont être transformés, (c’est en cours. L’enjeu est de taille et il faut, et c’est impératif, s’adapter vraiment à cette évolution de vos activité …

Ce camembert est intéressant en regard de la répartition des activités dans les cabinets comptables.  La part de conseil, comme vous le voyez, représente en moyenne à peine 5% du CA des cabinets…Alors pourquoi un pourcentage si minime alors que depuis des années, le problème semble récurent? Pourquoi ce problème ne se résout-il pas?

Une autre infographie présente le contexte actuel dans les cabinets comptables. Quelques mots clefs représentatifs des difficultés du moment, et je suis sûr que j’en oublie…

Opti-diag_lesexpertscomptables
  • La transition digitale a d’importantes répercussions sur nos métiers de la prestation tant en termes de coûts que d’organisation
  • Les recrutements sont de plus en plus difficiles et attirer les bons éléments relève de la gageure parfois
  • La loi Pacte de 2019 a eu des conséquences majeures sur nos métiers et je ne parle pas des milliers de textes à digérer chaque mois, tous plus ou moins digestes
  • L’ultra concurrence sur les métiers historiques, merci le digital!
  • La situation actuelle qui génère de grandes difficultés de management: merci le Covid!
  • La question du temps pour faire tout ca
  • Et pour couronner le tout, la difficulté de vendre des missions à valeur ajoutée dans le Conseil

Ce que l’ont peut dire, c’est que, « charger encore plus la mule », ca devient compliqué pour les cabinets, d’où peut –être le fait que le conseil reste encore et toujours la portion congrue dans la plupart des  cabinets

Ce qu’en dit la presse

CE qu'en dit la presse !

A en croire la presse actuelle qui parle de ce sujet en permanence, et si l’on tient compte des différents compte-rendu des grands-messes de l’Ordre, force est de constater que le sujet revient sans cesse : Il faut développer le conseil pour sortir de la crise ….

Ce qu’en disent les pairs

Cette crise qui secoue actuellement la profession est un signal fort.  De fait, le conseil peut incontestablement apporter de la valeur à votre activité, en tout cas la profession en semble convaincue….

Donc il faut vraiment y aller et je crois que ce n’est plus une question de choix.

 C’est une opportunité:

  • d’attirer des jeunes
  • de travailler différemment en interne et à l’externe
  • de générer de la récurrence avec en plus des réserves de missions colossales
  • de créer de la valeur ajoutée

Et pourtant des freins subsistent encore … Pourquoi?

Là encore, on peut épiloguer longtemps, mais la plupart des freins identifiés sont les suivants:

  • La question du savoir-faire spécifique pour faire du conseil
  • Ces compétences sont elles disponibles?
  • On nous parle de posture mais c’est quoi cette histoire de posture puisqu’on fait déjà du conseil?
  • Il faut des outils spécifiques et des méthodes
  • La question de la gratuité du point de vue du client : le conseil est à priori « compris » dans la lettre de mission comptable… ou bien?
  • Le manque de temps…

On n’ira pas plus loin dans l’analyse du contexte et des enjeux. Je pense que nous sommes tous bien au courant…

Il est donc évident, que tout ce qui contribue à doper l’activité des cabinets comptables d’une part, et d’apporter un meilleur service à leurs clients, doit être fait.
S’appuyer sur les questionnaires opti-diag contribue à cet effet de levier.

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